Je vous propose aujourd'hui un petit article technique permettant de répondre à ceux qui se sont interrogés à propos des mentions "Sosa XX" sur certains noms de personnes citées dans mes textes.
La numérotation Sosa-Stradonitz
La numérotation Sosa-Stradonitz utilisée dans ce blog, souvent désignée par "numérotation Sosa", est une méthode de numérotation des individus utilisée en généalogie qui permet d'identifier par un numéro unique chaque ancêtre dans une généalogie ascendante.
Mise au point en 1676 par l’espagnol Jérôme Sosa et reprise aux XIX° siècle par l’allemand Von Stradonitz, ce système de numérotation est aujourd’hui universellement reconnu et adopté par tous les généalogistes.
Le principe de cette numérotation est d'attribuer le numéro 1 à l'individu racine (homme ou femme) dont on établit la généalogie, que l’on nomme en latin le « de cujus ». On attribue ensuite le numéro deux à son père, trois à sa mère et ainsi de suite. Chaque homme a ainsi un numéro double de celui de son enfant et donc pair, et chaque femme un numéro double de celui de son enfant plus un, soit un numéro impair.
Les arbres généalogiques peuvent être représentés sous différentes formes : horizontale, verticale, ou bien sous forme de roue.
Pour ma part, je trouve que les numéros Sosa sont particulièrement compréhensibles dans la roue d’ascendance de l’individu racine qui permet de se situer visuellement dans la généalogie. Chaque ancêtre y a sa place prédéterminée par son numéro Sosa. On peut ainsi y inscrire les renseignements collectés au fur et à mesure des recherches effectuées.
Je vous propose ici la roue d’ascendance de mon père Bernard ARNOUL (ici Sosa 1) sur 7 générations, soit jusqu’au Sosa 127, telle qu’elle est renseignée à ce jour.
Mise au point en 1676 par l’espagnol Jérôme Sosa et reprise aux XIX° siècle par l’allemand Von Stradonitz, ce système de numérotation est aujourd’hui universellement reconnu et adopté par tous les généalogistes.
Le principe de cette numérotation est d'attribuer le numéro 1 à l'individu racine (homme ou femme) dont on établit la généalogie, que l’on nomme en latin le « de cujus ». On attribue ensuite le numéro deux à son père, trois à sa mère et ainsi de suite. Chaque homme a ainsi un numéro double de celui de son enfant et donc pair, et chaque femme un numéro double de celui de son enfant plus un, soit un numéro impair.
Les arbres généalogiques peuvent être représentés sous différentes formes : horizontale, verticale, ou bien sous forme de roue.
Exemple d’arbre ascendant horizontal sur 5 générations, les ancêtres étant à droite
Pour ma part, je trouve que les numéros Sosa sont particulièrement compréhensibles dans la roue d’ascendance de l’individu racine qui permet de se situer visuellement dans la généalogie. Chaque ancêtre y a sa place prédéterminée par son numéro Sosa. On peut ainsi y inscrire les renseignements collectés au fur et à mesure des recherches effectuées.
Je vous propose ici la roue d’ascendance de mon père Bernard ARNOUL (ici Sosa 1) sur 7 générations, soit jusqu’au Sosa 127, telle qu’elle est renseignée à ce jour.
Les numéros 1, 2, 4, 8, 16, 32, et 64 du rayon de gauche constituent la « lignée agnatique », c'est à dire celle par laquelle le nom Arnoul est transmis. Dans cette représentation, Jean ARNOUL (1716-1806), maître de poste aux chevaux, est le Sosa 32. On observe dans cette roue quelques cases vides à la 7e générations, dans des directions qui restent encore à explorer.
L’inconvénient de cette numérotation est de ne concerner que les ascendants directs. Il existe d’autres systèmes de numérotation, qui permettent de numéroter tous les descendants d’une personne, la numérotation d’Aboville par exemple, que nous n’utiliserons pas pour le moment.
Dans les articles de mon blog, j’ai attribué par convention le numéro Sosa 1 à un de mes fils, je suis donc le Sosa 2, et Jean ARNOUL par exemple devient le Sosa 128. Les numéros Sosa indiqués dans mes articles permettent tous de situer les personnes citées par rapport à cette référence.
Pour ceux qui voudraient plus d’informations sur les techniques et méthodes utilisées par les généalogistes, voir ce Guide-Pratique-Généalogie à télécharger, très complet, proposé par le Cercle Généalogique du Languedoc.
Jean-Paul Arnoul
Graphiques réalisés avec GENEATIQUE
L’inconvénient de cette numérotation est de ne concerner que les ascendants directs. Il existe d’autres systèmes de numérotation, qui permettent de numéroter tous les descendants d’une personne, la numérotation d’Aboville par exemple, que nous n’utiliserons pas pour le moment.
Dans les articles de mon blog, j’ai attribué par convention le numéro Sosa 1 à un de mes fils, je suis donc le Sosa 2, et Jean ARNOUL par exemple devient le Sosa 128. Les numéros Sosa indiqués dans mes articles permettent tous de situer les personnes citées par rapport à cette référence.
Pour ceux qui voudraient plus d’informations sur les techniques et méthodes utilisées par les généalogistes, voir ce Guide-Pratique-Généalogie à télécharger, très complet, proposé par le Cercle Généalogique du Languedoc.
Jean-Paul Arnoul
Graphiques réalisés avec GENEATIQUE
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