Après le récit de la suite de l'enquête que j'ai menée pour retrouver les frères de ma grand-mère Jeanne Lucie EHRÉ, je vais aborder l'histoire des ascendants de ses parents Mathias EHRÉ et Catherine LEMOINE. On verra alors que nous avons des cousins américains.
Famille ALIBERT - Ascendants EHRÉ et LEMOINE
Recherche des frères de Jeanne Lucie EHRÉ
Comme je l'écrivais dans mon précédent article sur la Famille ALIBERT, j’ai essayé de retrouver les actes de naissance des deux frères de ma grand-mère.
J’ai d'abord trouvé assez facilement l’acte de naissance de Aloïse EHRE, né le
21 avril 1880 à Pont-à-Mousson, et qui s’est marié le 26 mai 1906 avec
Eugénie Antoinette Virginie FREYMANN, selon la note en marge sur son
acte de naissance. Il a été incorporé à la mobilisation générale dans le
26° bataillon de Chasseurs a été tué sur le champ de bataille le 10 septembre 1914 à Rembercourt-aux-Pots en Meuse. Il a été déclaré mort pour la France avec le grade de
Caporal.
En revanche, je n’ai pas trouvé de
trace dans les archives de la ville de Pont-à-Mousson de la naissance de son frère Auguste, dont nous avons la carte postale qu’il a écrit à ses parents en 1915, et dans laquelle il cite notamment la petite Marie sa sœur, en fait Jeanne Lucie de son
nom de baptême, un
certain Jules qui lui a envoyé une lettre et qui pourrait être de la
famille, et un Camille qui vient de mourir, et dont on ne sait de qui il s'agit.
Il se trouve qu’en écrivant cet article, j’ai voulu
faire une dernière vérification sur Généanet pour une nouvelle tentative
d’identification de cet Auguste, au cas où un généalogiste l’aurait trouvé
avant moi. J’ai donc fait une nouvelle recherche sur le couple Mathias
Ehré et Catherine Lemoine et, outre quelques arbres avec des informations que j’avais déjà,
dont certaines issues de mes données, je suis tombé sur l’arbre
généalogique de Philippe BROCHEREZ de GUELDRE, qui cite un fils
que je ne connaissais pas, nommé Jules Firmin EHRÉ qui a épousé une Marie MULLER, et avec qui il a
eu 2 enfants.
Bizarrement, aucune mention de Jeanne Lucie, ni d’Aloïse Ehré, non plus d’Auguste.
Bizarrement, aucune mention de Jeanne Lucie, ni d’Aloïse Ehré, non plus d’Auguste.
Afin de vérifier cette
information comme il se doit, j’ai essayé de trouver son acte de naissance dans les
archives de la Meurthe-et-Moselle, sur la commune d’Atton, où il est né,
et non pas à Pont-à-Mousson. C’est peut-être pour cette raison d'ailleurs que je
n’ai pas trouvé non plus Auguste, qui est peut-être né à Atton lui
aussi, petit village très proche de Pont-à-Mousson. Malheureusement,
toutes les recherches sur la commune d’Atton ne donnent aucun résultat,
comme si les archives n'étaient pas disponibles en ligne.
En effet, j'ai appris par la suite de Philippe Brocherez, que les archives numérisées de la Meurthe-et-Moselle ne vont que jusqu’en 1872 pour Atton, et que les archives départementales sont fermées encore pour un an pour cause de déménagement...
En effet, j'ai appris par la suite de Philippe Brocherez, que les archives numérisées de la Meurthe-et-Moselle ne vont que jusqu’en 1872 pour Atton, et que les archives départementales sont fermées encore pour un an pour cause de déménagement...
J’ai toutefois trouvé l’acte de mariage de Jules Firmin
et de Marie MULLER sur la commune de Pont-à-Mousson, à la date indiquée
du 31 janvier 1903. Et cet acte cite les parents de Jules Firmin comme
étant bien Mathias EHRÉ et Catherine LEMOINE. Jules Firmin EHRÉ est donc
bien un troisième grand-frère de Jeanne Lucie.
Acte de mariage de Jules EHRÉ et de Marie MULLER |
J'ai alors contacté Philippe BROCHEREZ qui m'a répondu très rapidement avec les informations suivantes :
Jules Firmin EHRÉ : Dans son livret militaire, on apprend qu'il a été pensionné de guerre après avoir été amputé de la jambe droite.
Après la guerre 14-18 il s'est installé à Dieulouard. En 1921 on le retrouve épicier et habitant rue de Scarponne (c'est l'ancien nom de Dieulouard).
Jules Firmin EHRÉ : Dans son livret militaire, on apprend qu'il a été pensionné de guerre après avoir été amputé de la jambe droite.
Après la guerre 14-18 il s'est installé à Dieulouard. En 1921 on le retrouve épicier et habitant rue de Scarponne (c'est l'ancien nom de Dieulouard).
Auguste ERHÉ est né le 20 avril 1886 à Atton, à ce moment ses parents habitent 30 rue de Loisy à Atton.
Le
14 janvier 1914 à Longuyon il épouse Jeanne Maria BARTELMES, née à
Longuyon le 23 février 1888, décédée à Pont-à-Mousson le 7 juillet 1973.
Elle était femme de ménage à la quincaillerie Léquy.
Le couple a eu 2 enfants : Renée née le 17 juin 1920 à Dieulouard et Jean né le 15 septembre 1924 à Pont-à-Mousson. À partir de 1929 le couple habite 60 rue Pasteur à Pont-à-Mousson
Au
lendemain de la guerre, il est affecté aux Postes de l'Armée comme
facteur tout d'abord à Dieulouard. Puis il fait une carrière de facteur
aux P.T.T.
J'ai ainsi pu compléter la fratrie de Jeanne Lucie EHRÉ, qui avait en fait non pas 2, mais 3 grands frères, dont seul l'aîné est mort pour la France. J'ai pu également identifier des personnes sur les photos Alibert dont je disposais par recoupements et en évaluant les dates. Ces photos feront l'objet d'un article ultérieur dédié à cette identification, sous forme d'un album de famille.
Fratrie de Jeanne Lucie EHRÉ |
Le couple Mathias EHRÉ et Catherine LEMOINE
Les parents de ma grand-mère Jeanne Lucie dite Marie EHRÉ, étaient lorrains et issus d'une famille très modeste établie à Pont-à-Mousson. Ils habitaient au N° 15, rue des trois tours, qui est maintenant
officiellement la rue Paul FRANÇOIS, mais qui est encore connue sous ce nom par les Mussipontains.
Maison Ehré, rue des 3 tours à Pont-à-Mousson en 1916 Sur la photo : Jeanne Lucie et sa mère Catherine |
Mathias EHRE (Sosa 22) né à Haspelschiedt (57) en 1855, a épousé le 23 décembre 1878, Catherine LEMOINE (Sosa 23) née à Atton (54) en 1856. Ils se déclaraient comme domestiques à leur mariage en 1878. Par la suite, il déclarait être voiturier, à la naissance de sa fille.
Acte de mariage de Mathias EHRÉ et Catherine LEMOINE |
Dans cet acte de mariage très lisible, on apprend que Mathias n’est
pas majeur, alors qu’il a 23 ans, alors que sa fiancée Catherine est
déclarée majeure à 22 ans. Il s’agit en fait de la majorité
matrimoniale, âge qui permet de se marier sans l’accord formel des parents.
Cet âge avait été fixé à 21 ans pour les 2 époux par un décret
révolutionnaire en 1792, mais depuis 1804 il a été porté dans le Code
civil à 25 ans pour les garçons, avant d’être ramené à 21 ans par la loi
du 21 juin 1907. Depuis 1974, la majorité civile, comme la majorité
matrimoniale, est abaissée à 18 ans. Les mariés sont donc :
- Mathias EHRÉ, 9e et dernier fils de Michel EHRE (°1807 +1867), cordonnier, et de Marguerite MASCHINO (°1811 +1858). Il est né le mardi 6 mars 1855 à Haspelschiedt (57). À sa naissance, ses père et mère étaient âgés de 48 ans et 43 ans. Il s'est marié le 23 décembre 1878 à Pont-à-Mousson (54) à l'âge de 23 ans, avec Catherine LEMOINE, 22 ans. Il est décédé à l'âge de 63 ans le 23 octobre 1918 à Laxou (54).
- Catherine LEMOINE, fille de Louis LEMOINE (°1804 +1885), manœuvre, propriétaire chanvrier, et de Agnès BIGARÉ (°1809 +1865). Elle est née le 10 avril 1856 à Atton (54). À sa naissance, ses père et mère étaient âgés de 52 ans et 46 ans.Elle est décédée à l'âge de 80 ans le 29 janvier 1937 à Pont-à-Mousson (54)
Fait très rare, sont nommés aussi dans cet acte de mariage, les grands-parents paternels qui sont Mathieu EHRÉ et Catherine GRIESEL.
J’ai essayé d’en savoir plus sur les parents Michel EHRE et Marguerite MASCHINO, en cherchant les actes de mariage dans les archives de la Moselle (57) sur la commune de Haspelschieldt. Dans les tables décennales des mariages, on voit qu'ils se sont mariés le 23 avril 1838 :
Malheureusement,
les archives de la Moselle ne sont pas totalement numérisées à
ce jour, et on n’a pas l’acte de mariage lui-même, à moins de se
déplacer en mairie de Bitche pour les actes enregistrés à Haspelschieldt. J’ai tout de même
obtenu ces renseignements il y a quelques années par l’intermédiaire de
Charles Bronner qui m’a permis de débloquer mes recherches sur cette
branche en m’envoyant un fichier GEDCOM. J’ai malheureusement perdu tout
contact à ce jour avec ce généalogiste. Ses travaux sont toutefois
encore accessibles sur Généanet, mais sa dernière connexion à son compte date de 2011 .
Avant la quasi-généralisation
des archives en lignes, l’échange de fichiers GEDCOM était le seul moyen
d’avancer sans avoir à consulter soi-même les archives sur place.
Voici donc quelques informations que j'ai obtenues sur le couple Michel EHRÉ et Marguerite MASCHINO :
- Michel EHRÉ (Sosa 44) était le fils de Mathieu EHRÉ, (Sosa 88), né vers 1782 en Allemagne, journalier, décédé à Haspelschiedt, le 16/05/1829 à l’âge de 47 ans et de Catherine GRIESEL (Sosa 89), née vers 1780 en Allemagne, sage-femme de son état, et décédée à Haspelschiedt le 18/05/1836 à l’âge de 56 ans.
- Marguerite MASCHINO (Sosa 45), était la fille de Nicolas MASCHINO (Sosa 90), né en 1770, cultivateur à Haspelschiedt, décédé en 1837 à l’âge de 67 ans, qui a épousé en 1797, Catherine WURTZ (Sosa 91), née en 1776 à Walschbronn, et décédée en 1854 à l’âge de 78 ans.
Du côté EHRE-GRIESEL, mes recherches en amont s’arrêtent là, car ils sont nés tous les deux en Allemagne, et je n’ai
pas réussi à trouver d’autres précisions. D'après le lieu de naissance de leur premier enfant Barbe en 1805 qui est Spire en Allemagne, on peut supposer qu'ils s'y sont mariés avant d'habiter à Ringheim où il ont eu leur fils Michel en 1807, et de s'installer finalement côté français à Haspelschiedt près de Bitche où ils ont vécu le reste de leur vie. Les tables décennales de la commune de Haspelschiedt donnent leurs dates de décès, mais les actes complets ne sont pas numérisés.
Du côté MASCHINO-WURST, j’ai par contre obtenu toutes les informations par un autre contact
généalogique, une Américaine de San Diego (Californie) nommée Martha Rapp Stead,
cousine à la 9e génération et qui m'a fourni dans un fichier GEDCOM ses informations sur
les ascendants WURST jusqu’à Jean-Mark Wurtz (Sosa 1458) né avant 1640.
On y apprend notamment que Nicolas MASCHINO et Catherine WURTZ
étaient cousins à la 3e génération, et de ce fait, on les retrouve
plusieurs fois dans la roue d'ascendance.
Cousinage Nicolas Maschino et Catherine Wurst |
Parmi les descendants de
Jean-Mark WURST, on trouve en particulier le couple Michael HUKLER et Marie
Anne FEDERSPIEL, cousins et contemporains de Michel EHRÉ et de Marguerite MASCHINO, qui ont émigré aux USA dans l’Ohio aux environs de 1836 et qui ont eu beaucoup
de descendants aux USA, ce qui explique l’intérêt de Martha RAPP ep.
STEAD pour cette branche de la famille où elle a des ancêtres directs.
Cousinage FEDERSPIEL - MASCHINO |
Ascendants de Martha RAPP ep. STEAD |
C'est ainsi que j'ai découvert que nous avons des cousins américains...
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Les ascendants EHRÉ
Le patronyme "Ehré" vient du mot allemand 'Ehre" qui signifie "Honneur". En français, on met un accent sur le dernier "é" pour que la prononciation soit celle de l'allemand.
Mon arrière-grand-père Mathias EHRÉ (Sosa 22) est né le 06/03/1855 à Haspelschiedt (57), village frontalier près de Bitche. C’était le plus jeune fils de Michel EHRÉ (Sosa 44), né en 1807 à Ringenheim en Bavière.
Mon arrière-grand-père Mathias EHRÉ (Sosa 22) est né le 06/03/1855 à Haspelschiedt (57), village frontalier près de Bitche. C’était le plus jeune fils de Michel EHRÉ (Sosa 44), né en 1807 à Ringenheim en Bavière.
Michel EHRÉ s’était installé comme cordonnier à Haspelschiedt, où il s’est marié en 1838 avec Marguerite MASCHINO (Sosa 45), elle même née à Haspelschiedt, le 6 août 1811 et qui était sage-femme. Marguerite est décédée le 18 février 1858 à 46 ans après avoir donné le jour à 9 enfants, dont seul le dernier Mathias a survécu.
Michel EHRÉ s'est ensuite remarié le 29 avril 1858, soit moins de 3 mois après le décès de Marguerite, avec Anne Marie SCHMITT, qui lui a donné à son tour 3 enfants, dont deux décédés en bas âge. Seul Pierre EHRÉ né en 1860, à vécu, se mariant en 1885 avec Madeleine WEISS, dont 2 enfants.
Dans le tableau ci-après réalisé avec Généatique à partir de mes données, on voit la liste des 8 enfants sur 9 décédés en bas âge de Michel EHRÉ et de Marguerite MASCHINO, puis des 2 enfants sur 3 de son remariage avec Anne-Marie SCHMITT.
44 EHRÉ Michel ° 27/02/1807 + 25/05/1867
44-A = 45 x MASCHINO Marguerite ° 06/08/1811 x 23/04/1838 + 18/02/1858
|___44-A.1 EHRE Élisabeth ° 07/01/1838 + 19/10/1839, décédée à 21 mois
|___44-A.2 EHRE Nicolas ° 28/08/1840 + 04/01/1846, décédé à 5 ans
|___44-A.3 EHRE Anne Marie ° 19/10/1842 + 23/10/1842, décédée à 4 jours
|___44-A.4 EHRE Pierre ° 06/02/1844 + 07/08/1844, décédé à 6 mois
|___44-A.5 EHRE Pierre ° 15/08/1845 + 06/04/1846, décédé à 8 mois
|___44-A.6 EHRE Jacques ° 27/03/1847 + 29/09/1848, décédé à 18 mois
|___44-A.7 EHRE Michel ° 16/08/1849 + 30/03/1850, décédé à 7 mois
|___44-A.8 EHRE Nicolas ° 17/08/1852 + 07/02/1858, décédé à 5 ans
|___44-A.9 = 22 EHRÉ Mathias (Mathieu) ° 06/03/1855
|___22-A = 23 x LEMOINE Catherine ° 10/04/1856 x p 23/12/1878 + > ../../1930
|___|___22-1 EHRE Aloïse ° p 21/04/1880 + 10/09/1914, mort pour la France
|___|___22-1A x FREYSSMANN Eugénie Antoinette Virginie x 26/05/1906
|___|___22-2 EHRE Jules Firmin ° 02/09/1882
|___|___22-2A x MULLER Marie ° 06/12/1883 x 31/01/1903
|___|___22-3 EHRE Auguste ° 20/04/1886 + > ../../1929
|___|___22-3A x BARTELEMES Maria ° 23/02/1888 x 14/01/1914 + 07/07/1993
|___|___22-4 = 11 EHRÉ Jeanne Lucie Marie ° 05/09/1898 + 26/10/1975
|___|___11-A = 10 x ALIBERT André Édouard ° 26/07/1889 x 12/07/1916 + 08/01/1974
44-B x SCHMITT Anne Marie x 29/04/1858
|___44-B.10 EHRE Anne Marie ° 15/01/1859 + 04/09/1861, décédée à 2 ans
|___44-B.11 EHRE Pierre ° 25/03/1860
|___44-B.11A x WEISS Madeleine x 21/09/1885
|___|___44-B.11.1 EHRE Balthazar ° 03/07/1886
|___|___44-B.11.2 EHRE Anne Marie ° 28/02/1888
|___44-B.12 EHRE Catherine ° 07/03/1864 + 06/04/1865, décédée à 13 mois
Seuls 2 enfants sur 12, Mathias et Pierre, se sont mariés et eurent des enfants à leur tour. C’est très dur de constater autant de décès successifs d’enfant dans les tables décennales. On voit un acte de naissance, suivi de peu par un acte de décès. On peut imaginer la souffrance du couple de voir mourir ainsi ses enfants l’un après l’autre.
Comme si cela ne suffisait pas, l’aîné de leur fils Mathias est mort pour la France à la Première Guerre mondiale..
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Les Ascendants LEMOINE
Catherine LEMOINE (Sosa 23), épouse de Mathias EHRÉ, était la cinquième et dernière enfant de Louis LEMOINE, née en 1904 à Lesmesnil (54) et d’Agnès BIGARÉ, 22 ans, née à Atton en 1809.
Famille de Catherine LEMOINE |
Louis LEMOINE (Sosa 46) était manœuvre, propriétaire chanvrier. C'était le fils de Christophe LEMOINE (°1773 +1847), et de Marie Thérèse PAUGAIN (°1775 +1844). Il voit le jour à Lesménils, le 20 janvier 1804. À sa naissance, ses père et mère étaient âgés de trente ans et vingt-huit ans.
Il s'est marié le mardi 6 février 1838 à Atton, à l'âge de trente-quatre ans, avec Agnès BIGARÉ. Lors de son mariage, elle était âgée de vingt-huit ans.
Il était âgé de 74 ans lors du mariage de Mathias Ehré et de sa fille Catherine Lemoine. Il est décédé le 8 avril 1885 à Atton, à plus de quatre-vingt-un ans.
Agnès BIGARÉ (Sosa 47) son épouse était la fille de René BIGARÉ (°1780 +1859), manœuvre, et de Thérèse MOUROT (°1772 +1851). Elle naît à Atton, le 29 avril 1809. À sa naissance, ses père et mère étaient âgés de vingt-neuf ans et trente-six ans. Elle est décédée le 14 juin 1865 à Atton, à l'âge de cinquante-six ans.
Ils eurent 5 enfants, dont 2 moururent en bas âge :
- François Claude LEMOINE , né le lundi 26 novembre 1838 à Atton, Meurthe-et-Moselle, Lorraine, France. Marié le mardi 22 novembre 1864 à Atton avec Agnès Céline LAMY . Décédé le dimanche 1er septembre 1901 à Atton à l'âge de soixante-deux ans.
- Charles LEMOINE, né le 26 septembre 1842 à Atton, décédé le 11 juillet 1844 à Atton à l'âge de vingt-deux mois.
- Charles LEMOINE, né le 7 février 1847 à Atton, décédé le dimanche 7 mars 1847 à Atton, à l'âge de quatre semaines.
- François Léon LEMOINE , né le jeudi 19 avril 1849 à Atton, marié le mardi 13 mars 1877 à Bouxières-sous-Froidmont avec Marie Catherine. HERMONT
- Catherine LEMOINE, épouse de Mathias EHRÉ, dont 4 enfants, dont Jeanne Lucie EHRÉ, épouse ALIBERT
Voilà ce que je sais sur cette famille, dont les ascendants remontent encore sur plusieurs générations dans mon arbre généalogique, ceci grâce essentiellement à deux contributeurs majeurs. J'ai bien sûr fait un certain nombre de recherches pour trouver les actes en lignes, mais principalement sur les ancêtres directs.
Jean-Paul ARNOUL-ALIBERT
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